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la réforme

Mercredi 3 novembre 2010 à 7:03

Le moteur de recherche Blekko s'est lancé lundi 1er novembre en version bêta, avec l'ambition d'offrir une alternative à Google en proposant des résultats basés sur la contribution des internautes eux-mêmes.

Il s'agit d'aller au-delà des modèles mathématiques buy mudbox utilisés par des moteurs de recherche comme Google, qui font un classement des pages web les plus consultées, et d'utiliser la contribution des internautes eux-mêmes pour "trouver de la signification dans les milliards de pages du Web", a expliqué sur un blog Rich Skrenta, le co-fondateur et cheap mudboxdirecteur général de Blekko.D'après les explications de M. Skrenta, le fonctionnement du moteur de recherche s'apparente au principe "wiki". "Il n'y a pas besoin que tout le monde participe : la plupart des gens n'éditent pas Wikipédia, et pourtant cela a donné une vaste encyclopédie qui dépasse depuis longtemps l'encyclopédie fermée Britannica", fait-il valoir.

CRÉATION DE "SLASHTAGS"

A en croire M. Skrenta, la communauté des internautes pourrait être buy mudbox cheap la mieux placée pour garantir la pertinence des résultats du moteur de recherche, en évitant tout détournement commercial. Pour que cela fonctionne, des contributeurs volontaires attachent le symbole "/" à certains mots-clés qu'ils trouvent dans des pages web qu'ils jugent informatives. Ces mots-clés, ou "slashtags", permettent de répertorier les informations, pour qu'elles puissent être buy cheap mudbox repérées par le moteur de recherche.

Ces slashtags peuvent être comparés aux hashtags (#) sur Twitter, et permettent de préciser la recherche, afin d'éviter l'affichage de résultats non pertinents. Ainsi, comme l'explique le site, taper "global warming/green" permet d'afficher more infoles pages sur le réchauffement climatique provenant de sites écologiques, "global warming/conservative" les pages écrites sur des sites conservateurs, ou "global warming/date", d'afficher les derniers articles publiés sur le sujet.

Mercredi 3 novembre 2010 à 7:01

Le groupe informatique américain Oracle a annoncé mardi 2 octobre qu'il avait conclu un accord pour acheter pour un milliard de dollars (710 millions d'euros) la société Art Technology (ATG), spécialisée dans buy mudbox les programmes et applications d'optimisation du commerce en ligne.Les actionnaires d'Art Technology, qui doivent valider la transaction, se voient proposer 6 dollars en numéraire pour chacun de leurs titres, soit une prime de 46 % par rapport au cours de clôture de lundi soir.

"Plus de mille entreprises dans lecheap mudbox monde s'en remettent aux solutions d'ATG pour les aider à accroître la valeur des relations avec les clients", a souligné le directeur général d'ATG Bob Burke, cité dans un communiqué. "La combinaison (avec Oracle) va renforcer leur capacité à rassembler toutes leurs activités de commerce, en créant une expérience plus homogène et buy mudbox cheap pertinente pour leurs clients (..), y compris en ligne, en magasins, sur les appareils portables et avec les centres d'appel."

Oracle a souligné la complémentarité des produits d'ATG avec les siens, qui comptent déjà des programmes de gestion du commerce, des stocks etc. Le jour même, ATG a publié un bénéfice net trimestriel en hausse de 5 % à 4,2 millions de dollars, pour un chiffre d'affaires en hausse de 16,3 % à 50,3 millions de dollars.buy cheap mudbox Mais sur les neuf premiers mois de l'année, le bénéfice net accuse un recul de 10 %. Le chiffre d'affaires quant à lui a progressé de 11 %.

Oracle fait partie des grands groupes technologiques américains qui ont more infoaccumulé d'énormes liquidités au sortir de la crise. Au 31 août il disposait de plus de 12 milliards de dollars de cash. L'action Oracle gagnait 1,17 % à 29,44 dollars à l'ouverture de la Bourse de New York. Celle d'Art Technology bondissait logiquement à 5,99 dollars.

Mercredi 3 novembre 2010 à 7:00

Les ventes de téléphones multifonctions ont connu une véritable explosion en France pendant les huit premiers mois de l'année avec une croissance en volume de 138 % par rapport à la même période en 2009, favoriséebuy mudbox par une baisse de prix, selon une étude de l'institut GfK publiée mardi.

"Le marché ne faiblit pas et la croissance reste même très forte : sur les seuls mois de juillet et août, cette croissance a été de 133 % par rapport à l'été dernier", souligne Matthieu Cortesse, directeur de clientèle télécom chez GfK.Du côté des prix, pour la période juillet-août, GfK fait état d'une "baisse de 30 % sur un an lors du passage en caisse". "Les consommateurs ayant acheté un smartphone cet été ont déboursé en moyenne 154 euros, soit près de 70 euros de moins que l'été 2009, ce qui n'est pas négligeable", souligne Matthieu Cortesse.

LES PORTABLES CLASSIQUES DÉLAISSÉS

Autre tendance de fond, selon GfK, les écrans — le plus souvent tactiles —cheap mudbox s'agrandissent : "En août 2010, 10 % des smartphones vendus avaient un écran de plus de 3,5 pouces, soit une diagonale au moins égale à neuf centimètres."

Mais, tandis que le téléphone buy mudbox cheap multifonctions ne cesse de grimper dans les ventes, buy cheap mudbox le téléphone portable "basique" a connu une baisse de 9 % sur les huit premiers mois de l'année, par rapport à la même période en 2009.

Quant aux tendances de septembre, "la performance des smartphones sera toujours aussi bonne mais le marché global ralentit car les mobiles [non smartphones] sont encore plus délaissés. more infoAujourd'hui le consommateur n'entend plus parler que de smartphones. Donc, au rayon téléphonie, il commence souvent par se renseigner sur ces produits", résume Matthieu Cortesse.

Mercredi 3 novembre 2010 à 6:59

Les plus anciens utilisateurs d'Internet se souviennent sûrement de Geocities, un service de création et d'hébergement de pages personnelles (ancêtre des blogs) créée en 1994, et l'un des sites les plus populaires de l'époque. Racheté en 1999 par le groupe Yahoo! pour 3 milliards de dollars, ce service a finalement été fermé il y a un an, sans réelle explication. buy mudbox En réaction à cette annonce, une centaine d'internautes rassemblés sous le nom d'Archive Team a collecté la majeure partie des données de Geocities, et propose aujourd'hui de les télécharger via les réseaux peer-to-peer."De mémoire d'homme, Yahoo! a réalisé la plus grande destruction de données historiques en un minimum de temps. Des millions de fichiers et de comptes d'utilisateurs ont disparu", explique Archive Team, qui a collecté le maximum de pages personnelles six mois avant la fermeture définitive de Geocities, le 26 octobre 2009.

Les premières pages personnelles étaient caractérisées par de nombreux gifs animés, l'abus de couleurs criardes et un fond musical sommaire en format MIDI, bien loin de la sobriété des sites d'aujourd'hui. cheap mudboxCertains sites proposent de "relooker" n'importe quel site Internet selon les standards de Geocities, comme ici avec Le Monde.fr, pour se souvenir de cette époque révolue, qui correspond au début de la démocratisation d'Internet.

DES DONNÉES HISTORIQUES SUR L'INTERNET GRAND PUBLIC

"Nous sommes face à la destruction totale d'un héritage digital rare, buy mudbox cheap la suppression de centaines de milliers de voix, des voix qui représentaient l'arrivée sur la Toile de monsieur et madame Tout-le-monde", affirme Jason Scott, un des membres d'Archive Team, sur son blog.

"A l'instar des forêts et des villes, les sites Internet et les services de stockage ne devraient pas être détruits. Ils représentent d'innombrables heures d'écriture, d'édition, de réflexion et buy cheap mudbox de création. Ils représentent l'époque, les pensées et les rêves de ces gens devenus bien plus vieux, voire disparus."

Le fichier ne pèse pas moins de 640 Go, mais il est possible de consulter les pages personnelles more info sur des sites miroirs. Selon l'équipe d'Archive Team, les historiens et les sociologues sont les plus susceptibles d'utiliser ces données pour leurs recherches.

Mercredi 3 novembre 2010 à 6:58

Le parquet de Paris a classé sans suite une plainte déposée par une association anticorruption qui visait une convention passée en 2007 sans appel d'offres entre l'Elysée et le cabinet de Patrick Buisson pour la fourniture de sondages.

L'association Anticor avait porté plainte le 11 février 2010 à Paris pour "délit de favoritisme", un délit passible de deux ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende.Cette plainte contre X visait Publifact, le cabinet debuy mudbox l'ancien journaliste Patrick Buisson, qui a passé une convention le 1er juin 2007 avec la présidence de la République pour la fourniture d'études d'opinion, pour un coût total avoisinant 1,5 million d'euros sous la forme de "près de 130 factures".

IRRESPONSABILITÉ PÉNALE

Le parquet de Paris a finalement classé sans suite cette plainte fin octobre cheap mudbox au motif que l'irresponsabilité pénale dont jouit le chef de l'Etat "doit s'étendre aux actes effectués au nom de la présidence de la République par ses collaborateurs", selon l'avis de classement, consulté par l'Agence France-Presse, mardi 2 novembre.

Selon le parquet, la signataire à l'Elysée debuy mudbox cheap cette convention, l'ancienne directrice de cabinet de M. Sarkozy, Emmanuelle Mignon, "n'a juridiquement aucun pouvoir en propre, [elle] n'a pas de pouvoir personnel, même en cas de délégation buy cheap mudbox de signature".

COUR DES COMPTES

C'est la Cour des comptes qui avait mis au jour en juillet 2009 cette convention, passée, selon elle, sans qu'"aucune des possibilités offertes par le Code des marchés publics pour respecter lesmore info règles de la mise en concurrence (...) n'ait été appliquée".

Dans son rapport de contrôle des comptes et de la gestion des services de l'Elysée en 2008, la Cour épinglait par ailleurs une série de 15 études d'opinion publiées dans la presse alors qu'elles avaient été facturées également à l'Elysée par le cabinet de conseil de M. Buisson.

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